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La construction des matériels de transport : construction aéronautique, spatiale et navale, et construction de matériel ferroviaire, l'automobile.
L'énergie et l'extraction : pétrole, électricité, nucléaire, eau, gaz.
La construction électronique et électrique : matériel informatique, matériel électrique et électronique, mécanique de précision.
La transformation des matériaux : sidérurgie, aluminium, traitement et revêtement des métaux, fabrication de produits et d'éléments métalliques divers, industrie du bois, production de papier et de carton, plasturgie et caoutchouc.
L'industrie chimique et pharmaceutique : chimie de base, produits agrochimiques, peintures et vernis, savons et cosmétiques, fibres artificielles ou synthétiques, médicaments.
La mécanique : les machines et systèmes de production, les équipements des ménages et de la santé, l'optique et les instruments de précision, les activités de sous-traitance, l'outillage.
L'industrie textile : habillement, cuir, chaussure
L'édition et l'imprimerie : production des outils d'impression et réalisation des commandes. |
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De nombreux postes restent accessibles à un public peu ou pas qualifié : opérateur sur machine, monteur-assembleur, ouvrier en menuiserie-industrielle, manutentionnaire, etc. Néanmoins, des formations professionnelles (proposées par l’ICAM, le GRETA, l’AFPI, l'AFPA etc...) facilitent l’accès à l’emploi et permettent de décrocher des postes plus qualifiés : ainsi, conducteur de ligne, OP de production, usinage et soudeurs sont souvent recherchés par des PME-PMI. Il est à également à noter que de plus en plus de femmes sont concernées par les métiers de l’industrie. |
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Généralement regroupées dans des zones artisanales ou industrielles, les entreprises recruteuses sont souvent des PME-PMI. De journée ou en 2x8, les emplois proposés se déclinent en autant de postes qu’il y a de secteurs d’activités : monteur de pneus chez Sonamia, soudeur semi-auto chez Armatures Services, mouleur en fonderie chez Goïot . Le peu de points communs entre ces métiers nécessite donc une lecture attentive des offres diffusées. Un peu moins soumises aux aléas saisonniers que l’industrie agroalimentaire, l’industrie propose des contrats plus stables et plus longs même si l’intérim est parfois un passage obligé. |